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22 petits morceaux d'ensemble, vol. 4 (c.1887) - cliquez pour agrandir l'image
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Titre 22 petits morceaux d'ensemble, vol. 4 (c.1887)
Référence article 3197473
Catégorie Musique d'ensemble
Sous-catégorie 7 cuivres
Instrumentation 7Brass
Pays de publication Suisse (ch)
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Compositeur Simon, Antoine
Niveau 3+
Durée 9:20
Informations complémentaires/contenu Diese Sammlung erschien ursprünglich in Druck unter dem Titel 22 PETITS MORCEAUX D'ENSEMBLE pour instruments de cuivre … PAR ANT. SIMON. Op. 26. In jenen Tagen wurden Stücke für Blechbläser meist in Freiluftpavillons in öffentlichen Gärten aufgeführt. Dort bis zum Ausbruch des Ersten Weltkriegs unterhielten Blechbläserensembles ihr Publikum. Überall wo Streicherensembles und Sinfonieorchester für Zuhörer aus adligen und höheren Klassen auftraten, spielten Blechbläsergruppen fürs einfache Volk.
Stilistisch sind Simons Kompositionen für Blechblasinstrumente einzuordnen zwischen den zwölf Blechbläserquintetten von Jean Bellon (1795-1869), die zwischen 1848 und 1850 für kleines Klappenhorn in Es oder Cornet à piston, einen weiteren Cornet, Ventilhorn, Posaune und Ophiclëide im Druck erschienen (und die Editions Bim 2000 publizierte), den Zwölf kleinen Stücken Ludwig Maurers (1789-1878), die 1881 postum im Druck erschienen, und dem ersten Quintett Victor Ewalds (1870-1935), das 1912 veröffentlicht wurde. Maurers Quintette wurden für zwei B-Kornette, zwei Es-Hörner (gelegentlich in F) und einer Posaune geschrieben, einer Formation, die praktisch identisch ist mit der von Simons Quintetten. Ewald ließ die Posaune fallen; die drei tiefen Stimmen seiner drei Quintette sind für Althorn, Tenorhorn und Tuba.
Simons Melodik und Harmonik wären ohne Tschaikowskys Einfluss nicht denkbar, aber er behielt gewisse französische Elemente bei, die mit Geschmack und Raffinesse zu tun haben. Die leidenschaftlichen Dynamikausbrüche innerhalb der 22 Stücke dieses Op. 26 sind bemerkenswert, da es sich dabei nicht um großangelegte Kompositionen handelt, sondern um Miniaturen. Mit dem Titel – 'Petits morceaux' – ist der Komponist wohl von Maurer mit seinen 'kleinen Stücken' beeinflusst worden. Die einzelnen Stücke mit ihren charakteristischen Titeln stimmen mit der hergeleiteten Architektur jener Zeit überein.

This collection originally appeared in print under the title '22 PETITS MORCEAUX D'ENSEMBLE pour instruments de cuivre … PAR ANT. SIMON. Op. 26'. In those days, brass pieces were generally performed in open-air bandstands located in public gardens. There brass ensembles of all descriptions entertained their listeners up to the time of the First World War. In all countries of the earth where string ensembles and symphony orchestras performed for the nobility and the upper classes, brass groups played for the common people.
Stylistically, Simon's compositions for brass instruments can be situated between the twelve brass quintets that Jean Bellon (1795-1869) composed between 1848 and 1850 for a small Eb keyed bugle or cornet, another cornet, a valved horn, a trombone, and an ophicleide (all published in 2000 by Editions Bim), the Twelve Little Pieces by Ludwig Maurer (1789-1878), which were published posthumously in 1881, and the first quintet by Victor Ewald (1870-1935), which was printed in 1912. Maurer's quintets were written for two B-flat cornets, two horns in E-flat (occasionally in F), and a trombone, a formation virtually identical to that of Simon's quintets. Ewald, on the other hand, dropped the trombone; the lower three parts of his three quintets are for alto horn, tenor horn, and tuba.
Simon's melodic and harmonic writing are greatly indebted to Tchaikovsky, but he also retained certain French traits having to do with taste and refinement. The passionate dynamic outbursts within the 22 compositions of this Op. 26 are noteworthy, since these are not long, extended pieces, but rather miniatures. With his title – 'Petits morceaux' – the composer was probably influenced by Maurer with his 'Little Pieces'. The individual pieces with their characteristic titles correspond musically to the derivative architecture of the time.

Cette collection a initialement été publiée sous le titre 22 PETITS MORCEAUX D'ENSEMBLE pour instruments de cuivre … PAR ANT. SIMON. Op. 26. A cette époque les pièces pour instruments de cuivre étaient la plupart du temps destinées à être jouées en plein air. Aujourd‘hui on trouve encore, souvent abandonnés dans les parcs et jardins publiques d‘Europe et d‘Amérique, de ces pavillons musicaux aux planchés surélevés, couverts d‘une toiture métallique soutenue par de fines colonnes. Ainsi protégés, des ensembles de cuivre de tous genres enchantaient leur public. Une tradition qui s‘arrêta dès le déclenchement de la première Guerre mondiale. Partout où les ensembles à cordes et les orchestres symphoniques s‘adressaient à des auditeurs issus de la noblesse et des classes supérieures, les ensembles de cuivre jouaient pour le peuple.
Au niveau du style, les compositions pour cuivres de Simon s‘inscrivent entre les Douze quintettes de cuivres de Jean Bellon (1795-1869) composés entre 1848 et 1850 instrumentés pour petit bugle Mib (ou Cornet 1), cornet 2, cor à pistons, trombone et ophicléide (tous publiés aux Editions Bim en 2000), les Douze petits morceaux de Ludwig Maurer (1789-1878) publiés après sa mort en 1881 et le premier Quintette de Victor Ewald (1870-1935), publié en 1912. Les quintettes de Maurer étaient instrumentés pour 2 cornets en Si bémol, deux cors en Mi bémol (parfois en Fa) et un trombone, une formation analogue à celle des quatuors de Simon. Ewald laissa tomber le trombone; les trois voix graves de ses trois quintettes sont distribuées au cor alto en Mi bémol, au baryton et au tuba.
Les lignes mélodique et harmoniques de Simon sont marquées par l‘influence de Tchaikovski, mais il reste quelques réminiscences de son origine française, au niveau du goût et du raffinement,. Les éclats dynamiques passionnés qui surgissent dans les 22 pièces de cet opus 26 sont d‘autant plus remarquables qu‘il ne s‘agit pas de grandes compositions, mais bien de charmantes miniatures. Le choix du titre, 'Petits morceau' semble s‘inspirer de Maurer et de ses 'Petites pièces'. Chaque morceau au titre caractéristique correspond bien au genre en vogue à cette époque.

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